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JUDO BIOSTAT-COMBIMAT
Service
2
Touche de rinçage/purge manuelle
3
Plaque signalétique
4
Habillage
5
Moteur de nettoyage
6
Moteur à balayage
7
Tuyau pour eau de rinçage
(soupape de rinçage)
5.4.1 Action du traitement
L’anti-tartre est entièrement automatique.
L’action de traitement est adaptée au débit
de l’eau. Il y a un débitmètre à l’entrée de
l’anti-tartre.
Le débitmètre est constitué par un compteur
d’eau à hélice.
L'hélice dans le compteur d’eau tourne par
le courant d’eau. Un capteur de Hall reçoit
des impulsions par l’aimant qui se trouve
dans l’hélice.
L’électronique fait une déduction de la quan-
tité d’eau en fonction du nombre et de la fré-
quence des impulsions. A partir du rapport
de la tension en place au courant de traite-
ment ainsi que de la durée du courant de
traitement (durée des impulsions), l’électro-
nique commande le courant de traitement.
Le courant de traitement est optimisé par
l’électronique en fonction de la composition
de l’eau.
Dès que l’eau coule, le traitement d’eau est
affiché par la LED 1 verte qui clignote (cf.
fig. 12).
5.4.2 Fonction de protection contre
le calcaire
L’anti-tartre libère de petits nanocristaux sur
lesquels le calcaire peut se fixer. Dans la
chambre de traitement, il y a une anode en
titane (pôle plus) et une brosse ronde en
acier fin qui sert de cathode (pôle moins).
Dès que de l’eau coule, une tension conti-
nue pulsée est posée sur ces deux électro-
des de telle sorte qu’un courant passe entre
elles. Le calcaire dilué se sépare sur la
cathode (brosse ronde en acier fin) sous
forme de cristaux de carbonate de calcium.
Lors du nettoyage, ceux-ci sont détachés
des différentes brosses par la rotation de la
brosse ronde. Les cristaux ainsi obtenus
sont des microcristaux. Des cristaux plus
gros qui se formeront éventuellement
s’abaissent sur le fond ainsi que les parties
mobiles des brosses et seront éliminés par
la soupape de vidange lors du nettoyage.
Les particules de calcaire apparaissent
dans l’eau de rinçage comme du « sable »
fin. Les microcristaux restent en suspens et
constituent ainsi des nanocristaux sur les-
quels le calcaire peut continuer à se fixer.
On peut en reconnaître la croissance par un
léger trouble de l’eau, surtout dans l’eau
chaude. Par leur croissance les cristaux
arrivent lentement à la dimension à laquelle
ils diffusent la lumière. Ils ont alors moins de
millièmes de millimètre. Mais, même ces
cristaux sont toujours si petits qu’ils restent
en suspens et sont alors rincés par le cou-
rant. La même opération a lieu aussi dans le
domaine de l’eau froide.
Les potentiels de séparation du calcaire
sont normalement plus petits. Par le fait que
le calcaire en surplus se dépose sur les
nanocristaux, les autres surfaces (conduites
rigides, chauffe-eau etc.) restent épargnées
par les dépôts de calcaire de telle sorte que
par ex. des cartouches chauffantes n’ont
plus d’incrustations. La formation des cris-
taux réduit certes la dureté de l’eau, mais
cette réduction est minime qu’il est impos-
sible d’en prouver la présence par des appa-
reils de mesure simples.
Un compteur d’eau à hélice se trouve à
l’entrée de l’anti-tartre, lequel reconnaît
même le plus petit débit de 1,5 l/min env.
Avec une électronique commandée par
microprocesseur, on assure qu’il y aura tou-
jours un traitement optimal de l’eau qu’il
s’agisse de très petits débits jusqu’au débit
nominal et aussi en fonction de la composi-
tion de l’eau grâce à une adaptation des
impulsions de courant.
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